1. liebert Le 29/10/2015
Tres bon boulot Yves toujours les dernières info sur le site félicitations camarades a plus jean luc
2. Webmaster Le 06/01/2012
Merci Clem
3. clem Le 15/12/2010
merci yves pour les cyber cartes bon courage site fo tres bien tenu bon travail
4. Celine Le 26/11/2010
J’ai beaucoup aimée ce que vous avez écrit!bonne continuation ; voyance .
5. clem Le 23/09/2010
bravo yves 2heures apres la manifestation les photos son deja sur le site travaille de pro felicitations ...
6. eric brout Le 07/09/2010
Bonjour, Dans votre article "Les droits", vous faites référence à un ...
7. Le Webmaster Le 07/09/2010
Bonjour Eric, En espérant avoir répondu à votre question... Cordialement et ...
8. clem Le 01/09/2010
felicitations et merci pour les informations sur les preavis qui vont me servir en tant que conseiller ...
NÉGOCIATION SUR L’EMPLOI: BEAUCOUP DE FLEXIBILITÉ ET PEU DE SÉCURITÉ
Réuni le lundi 14 janvier, le Bureau confédéral de FO a décidé, à l’unanimité, de ne pas signer l’accord national interprofessionnel conclu le 11 janvier.
Accord dit «pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés».
Une décision logique au vu du contenu de l’accord, que Jean-Claude Mailly avait laissé pressentir durant la dernière semaine de négociation. À plusieurs reprises, le Secrétaire général de FO avait en effet indiqué que l’éventuelle signature de FO passait notamment par un retrait des dispositifs patronaux en termes de flexibilité. Or, ceux-ci figurent bel et bien dans le projet de texte final approuvé par la CFDT, la CGC et la CFTC: nouvelles procédures de plan social, mobilité interne forcée, création de deux CDI au rabais..., la liste est d’ailleurs longue pour qui voudrait dresser le catalogue des revendications patronales satisfaites par cet accord. L’une des plus lourdes de conséquences pour les salariés est la possibilité offerte aux patrons d’instaurer, dans le cadre d’un accord signé avec des organisations syndicales représentant une majorité de salariés, «en cas de graves difficultés conjoncturelles», et pendant deux ans, une baisse de salaire et/ou une augmentation du temps de travail. Et malheur au salarié qui serait tenté de refuser son sort, car il sera automatiquement licencié pour motif économique.
TOUR DE PASSE-PASSE PATRONAL
En revanche, pour ce qui est des avancées en faveur des salariés, l’accord instaure divers dispositifs d’une fragilité telle que leur –éventuelle– naissance ne risque pas de bouleverser le monde du travail: ainsi, la mise en place de droits rechargeables à l’assurance-chômage sera discutée dans une négociation ultérieure. Les contours du dispositif seront fixés par un groupe de travail, mais il est déjà acquis qu’il «ne pourra pas aggraver le déséquilibre financier du régime». En clair, il ne devra pas coûter un euro de plus. Quant à la généralisation de la couverture complémentaire santé, elle ne se fera obligatoirement que début 2016.
Mais c’est peut-être sur l’épineux sujet de la surtaxation des contrats précaires que le patronat a montré l’étendue de son savoir-faire. Cette mesure a été présentée comme une concession patronale arrachée par les syndicats dans les dernières heures de la négociation. Sauf que la plupart des CDD (saisonniers, intérim) sont miraculeusement exclus du dispositif. Du reste, selon un premier chiffrage, la surtaxation des contrats précaires ne coûtera que 100 millions d’euros au patronat, tandis qu’il récupère, en échange, 150 millions d’euros de nouveaux allégements de cotisations d’assurance-chômage. Soit 50 millions de gagnés dans l’opération, qui s’apparente à un véritable tour de passe-passe patronal. C’est donc à la suite d’une analyse détaillée de l’accord que FO a estimé que «la flexibilisation, c’est maintenant; la sécurisation de l’emploi pour demain, peut-être».
En ce sens, il s’inscrit dans la droite ligne des politiques pour l’emploi mises en œuvre depuis une trentaine d’années et qui ont pour point commun d’alléger le prix du travail tout en accroissant la flexibilité: désindexation des salaires (1983), suppression de l’autorisation administrative de licenciement (1986), allégements sociaux sur le temps partiel (1992) ou sur les bas salaires (1995) et mise en place des 35 heures (2000) se sont succédé sans que les centaines de milliers d’emplois promis à chaque fois ne se concrétisent. S’il demeure en l’état, cet accord viendra s’ajouter à la (longue) liste noire des dispositifs néfastes pour l’emploi.
FO Hebdo - Janvier 2013
1. Par forceouvriere-ch-chauny le 16/01/2015
Merci de nous contacter au 0323385380. A bientôt Le Webmaster
2. Par PINCHON le 15/01/2015
Bonjour, j'ai fait l'objet en juin 2014 d'un burn out professionnel. Je travaillais à l'époque à l'Agence ...
3. Par ILIA le 28/11/2014
Bonjour, Agent de la Fonction Publique Territoriale en Congé Longue Maladie (CLM) depuis 3 ans (1 an ...
4. Par forceouvriere-ch-chauny le 28/10/2014
Le fonctionnaire en position d’activité a droit, s’il est atteint d’une maladie dûment constatée le mettant ...
5. Par forceouvriere-ch-chauny le 28/10/2014
Contacter FO TERRITORIAUX au 03 23 56 39 38
6. Par forceouvriere-ch-chauny le 28/10/2014
Contacter FO TERRITORIAUX au 03 23 56 39 38.
7. Par druart le 13/10/2014
Jaimerais obtenir le corrigè .. cordialement
8. Par Émilie le 22/09/2014
Bonsoir, Puis-je avoir les réponses du QCM merci.